
Salut la team, aujourd’hui on parle d’un truc qui te pourrit la vie… mais que tu continues à supporter : tes douleurs récurrentes.
Le genou qui coince à chaque fente lourde.
Le bas du dos qui tire après chaque série de soulevé de terre.
L’épaule qui grince dès que tu enchaînes des tractions ou des cleans.
Et ce point sous le pied qui revient dès que tu passes les 10 km en course.
👉 Et tu te dis :
💥 "C’est normal, je force beaucoup."
💥 "C’est mécanique, je suis usé·e."
💥 "J’ai une mauvaise posture."
Mais… et si ce n’était pas QUE physique ?
1. La douleur n’est pas toujours un problème de muscle ou d’articulation
Ton corps est une machine intelligente.
Une douleur persistante, c’est parfois un signal d’alerte mental.
👉 Stress, charge mentale, frustration = tensions corporelles.
💡 Exemple : Un dos qui reste "bloqué" même après repos ? Ton mental continue à "protéger" la zone parce qu’il anticipe un faux danger.
2. Ce que tu crois… ton corps l’exécute
Tu t’attends à avoir mal ? Tu auras mal.
Parce que ton cerveau active les mêmes zones nerveuses qu’une vraie blessure.
👉 "Mon genou me lâche toujours sur les squats lourds" = ton corps l’enregistre comme une vérité.
👉 "À chaque sprint, mon mollet va se bloquer" = ton système nerveux se crispe avant même l’effort.
3. Ton corps stocke tes émotions
Colère non exprimée ? Épaules verrouillées sur les thrusters.
Peur de ne pas finir ton WOD ? Dos qui se bloque sur les soulevés de terre.
Frustration d’un chrono raté ? Jambes lourdes sur les 400 m de relance.
Le corps parle quand la tête refuse d’écouter.
4. Ce que tu évites, ton cerveau le dramatise
Tu esquives certains mouvements par peur de la douleur ?
👉 Tu repousses toujours les burpees avec push-up parce que "ça tire trop dans l’épaule" ?
👉 Tu coupes court sur les fentes avec charge pour "protéger tes genoux" ?
Résultat : ton cerveau enregistre "ce mouvement = danger".
Crispation, mauvaise exécution, et… douleur renforcée.
5. Reprogrammer, c’est possible
✅ Visualisation : Imagine un snatch fluide et puissant, un 1000 m en contrôle sans douleur. Ton cerveau réapprend.
✅ Respiration et cohérence cardiaque : Apaise ton système nerveux avant une série lourde ou un départ rapide.
✅ Changer le discours interne : Passe de "je suis fragile" à "chaque répétition me renforce".
✅ Exposer progressivement le mouvement : un thruster léger bien exécuté vaut mieux que des semaines d’évitement.
En résumé
Ta douleur n’est pas que physique.
Ton mental peut la déclencher, l’entretenir… ou la libérer.
❓Tu veux arrêter de te battre contre ton corps ?
❓Tu veux comprendre pourquoi il bloque toujours sur les mêmes mouvements ?
❓Tu veux hacker ce lien cerveau-corps pour t’entraîner librement ?
On en parle quand tu veux.
Marie-Anne
Shift your mindset.
IMPORTANT :
Un suivi médical reste indispensable pour diagnostiquer et traiter toute douleur persistante.
L’accompagnement mental n’a pas vocation à remplacer un traitement médical : il vient compléter et accélérer le processus de guérison en reprogrammant le lien cerveau-corps.
Tu connais quelqu’un qui se plaint toujours de son genou, de son dos ou de ses épaules ?
Partage-lui cet article. Il/elle a besoin de lire ça.
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